poésie et folie en tous genres
L’UNIVERS.
Chaque être possède un monde, ou il se plait parfaitement.
Mais... par la volonté divine, il est obligé de voyager.
Sur une planète, il se sentira très bien mais toujours moins bien que sur la sienne.
Il est obligé de passer par toutes les planètes de tous les êtres.
Et certaines planètes conviennent mal à certains êtres, mais doivent passer par là !
Qu’est ce qui est beau ?
Et qui est moche ?
Une larme.
SAVANT FOU
Il inocule à sa femme un virus qui réagit au sperme différent du sien, en synthétisant en grande quantité de chlorophylle. Ainsi, si sa femme lui est infidèle, elle vire au vert !!
Et lui au rouge, mais ça c’est bien naturel !!!
l’homme est comme un pulsar dans la nuit, un éclair énorme formidable mais qui ne dure qu’un instant !! grâce à la reproduction, il peut ainsi pulser pendant des siècles, mais face au soleil ! ...
le pulsar existe, le soleil aussi ! et Dieu ? un pulsar ne deviendra jamais un soleil, et notre âme ? mourrait-elle en même temps que notre corps !
que de dérives dans mes pensées, comme un navire en pleine tempête, sans moteur ni voile, une simple petite coquille de noix qui va au gré des éléments. Dans cette coquille, il y a un trésor, une toute petite malle, mais j’ai perdu la clef ! il suffirait de l’ouvrir pour que ...
dans mon coffre il n’y a ni or, ni objets précieux, il n’y a rien...
rien qu’un soleil !
c’est mon soleil, mais je n’ai pas la clef.
Je pense à lui tous les jours, sans ça il se serait éteint depuis longtemps, mais comme je prends bien soin de lui, il brille de mille feux.
Ma barque peut se remplir d’eau, ce n’est pas grave car j’aurai toujours mon soleil…
Que de continents traversés à la recherche de cette clef, source de lumière forgée à l’origine des temps.
Ou es-tu ma petite fée seule capable d’ouvrir mon trésor et de faire rayonner mon soleil !
Ton esprit vagabonde dans les highlands.
Dans une immensité de collines,
Ton esprit au-dessus vole.
Le sol est tapissé de buissons et de mousses.
Le vent s’engouffre dans tes longs cheveux.
Sens la puissance des Highlands !
L’air frais pique le visage,
On vole si vite au dessus de la lande, que l’air nous fait tourner la tête !
Il n’y a plus de haut ni de bas,
Qu’un mélange de ciel bleu de buissons verts, rouges, et jaunes, et d’eau salée, mmmmmmmmh que ça sent bon les embruns !!
Au bas d’une colline sur un tapis de mousse, la petite fée des Highlands s’est endormie.
A la mort
Soudain une ombre surgit de nulle part, plus sombre qu’une nuit sans lune. Elle se propage à toute allure.
Elle arrache, détruit, ravage tout sur son passage. Tout est remué, déplacé, cassé, brisé, tous les sentiments s’emmêlent, les pensées les plus noires resurgissent et alimentent cette ombre grandissante.
Les souvenirs les plus profonds refond surface ; les pensées, actions et démons de mille ans oubliés réapparaissent.
Cette ombre ravage tout sur son passage, de celle-ci émerge un cri strident continu de plus en plus aigu .
Puis un autre son opposé tellement grave qu’il fait tout vibrer, ce n’est bientôt plus qu’une vibration qui résone de toute part.
De ce chaos déferle une onde de choc qui détruit le monde qui la précède. Seul lui succède un désert qui se met à saigner de toute part... bientôt un océan de sang se forme rouge, rose,
noir...
La tempête gronde, la pluie tombe, l’eau inonde la moindre parcelle.
Puis la tempête s’estompe,
L’eau laisse place à un sol pur bientôt une plante repousse,
Et fait sa première fleur,
Sous cette plante se cache un trésor !
Toutes les couleurs de la vie
Ne sont qu’une succession de gris
Sans toi !
Quel est ton nom ?
Quel est ton fond ?
Je pense souvent à toi
Et je te vois
Tu es si belle !
Tout s’emmêle
Je te regarde
On se ballade
Sur la plage
Comme une image
On se tient
Par la main
Tu rigoles
Tu est folle
Tes yeux pétillent
Tout est jaune, rouge
Sous les lumières de l’aurore
Tout est d’or
Tu bouges
Tu danses
Je me lance
Vers toi
Je suis là !
On rêve
On divague
Prés de la grève
Une vague
Qui me réveille
Princesse
Qui m’émerveille
Détresse
Utopia ?
Es-tu là ?
La nuit je rêve de toi
Le jours je pense a toi
Sentiments qui sans cesse réapparaissent
Comme des vagues qui me caressent
Tous les jours je te vois
Toi je ne sais pas…
Sentiments qui sans cesse me terrorisent
Comme des vagues qui me brisent
Je t’aime tant
Ou je me dévoilerai
Ou je saurai
Tu m’as déjà coudfoudré
Vas tu me foudroyer ?
Mille fois je l’ai été
Difficile à supporter…
J’aime tout de toi
Et toi ?
Que penses tu de moi ?
Incapable de le savoir !
Brouillard
J’en est marre !
Je vais te revoir
Furie des sens
Folie intense
Je dois savoir !
Toi qui es là ! Que fais tu pour moi ? Rien Tu me regarde me débattre dans cette vie absurde sans chemin, sans destin, sans rien, es-tu seulement là ! Un homme qui ne fait rien pour en sauver un autre est coupable !, alors pourquoi ne le serais tu pas ? Peut-être parce que tu n’existes pas... Et pourtant tant de monde croit en toi ! Croire en rien c’est pas mal pour l’homme... Lui qui veut tout posséder, savoir et dominer... Qui va la ? La vie Mais je ne te veux pas ! Pas envie ? Mais tu n’as pas le choix ! Tu vas vivre ! Tel est mon bon plaisir. Alors il faut que je m’enivre Car je vais mourir. Je n’ai rien demander. Pourquoi suis-je la ! Entre tous ces paumés . Qui n’en savent pas plus que moi. Regard triste ou rêveur Alors c’est un cauchemar ! Ou simplement une peur Elle en a marre. Tout ce qui gravite Autour d’elle Ne la mérite Elle est si belle ! Comme si la pureté Etait tombée en enfer ! Ce sont ses pères Qui l’ont forcée.